•  Il est important  que vous nous fassiez connaitre si vous aimez ce livre d'après ce que vous en avez déja lu,que pensez vous que sera la suite...Dites nous tout et plus encore.


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  •                                    L’HISTOIRE DES TALISMANS

                                               

           Le talisman que produit la relique tous les vingt cinq ans est d’une puissance inimaginable. Le Patriarche le prend puis avec un rituel sacré que seuls les patriarches connaissent, initie un apprenti Ngue au rang suprême d’honorable chevalier Ngue, tout ce que nous profanes savons c’et qu’il attache ce talisman au bras droit du chevalier Ngue et qu’après neuf jours ce talisman devient invisible. Après un certain temps ce talisman apporte un pouvoir prodigieux au chevalier Ngue lui permettant de se téléporter à des distances proportionnellement à son niveau de maîtrise et au combat, il lui permet d’avoir une énergie sensiblement égale à celle de cent hommes réunis. Les Simba expérimentés, les apprentis Ngue sont aussi initiés à l’aide de talismans moins puissants que celui des chevaliers Ngue.Le patriarche confectionne tous les deux ans un talisman pour initier un apprenti Ngue ; l’honorable Ngue confectionne une fois l’an un talisman pour initier un Simba expérimenté et trois fois l’an un talisman pour initier un Simba.

           Tous ces talismans sont attachés au bras et après un certain temps deviennent invisibles. Les talismans des Simba leur donnent un pouvoir sensiblement égal à celle de deux hommes. Les Simba expérimentés ont une énergie de combat égale à peu près à celle de cinq hommes. Quant aux apprentis Ngue leur talisman leur donne une énergie de combat égale à celle de dix hommes. Les chevaliers Ngue peuvent visiter un certain du monde invisible avec le support de leur talisman. Quand l’un est ordonné par le comité des patriarches comme Mbabock,il n’a plus besoin du support de son talisman mais de part son initiation ce talisman devient plus puissant qu’un ordinaire le patriarche peut l’utiliser puisqu’il ne s’en sert plus pour ordonner un apprenti Ngue au rang suprême d’honorable chevalier Ngue.Il est interdit d’utilise un même talisman sept fois pour cela car ce talisman prend plus de pouvoir au fur et à mesure que celui qui le possède devient patriarche et, à la septième fois ce pouvoir devient presque égale à celui d’un patriarche ; or le Ngue à qui on peut le confier n’a pas encore assez de pureté de cœur pour contrôler une telle énergie

           La loi stipule que si un talisman a appartenu successivement à sept Ngue, le dernier doit le détruire en le remettant dans la relique. La force du talisman des Ngue diminue progressivement jusqu'à disparaître s’ils ne respectent pas certaines prescriptions. Les Simba sont d’excellents médecins, musiciens et danseurs ; on raconte de certains danseurs leurs corps est capable d’exécuter tous les mouvements qu’ils imaginent. Les Ngue et les Simba se téléportent à des kilomètres dans la forêt pour tuer des gibiers et les ramener au village pour nourrir la population ; ils sont en harmonie avec les élémentaux de la forêt qui leur indiquent à quelle période chasser et quelles espèces pour ne pas en détruire certaines. Ils vont aussi loin dans le fleuve et rentrent avec de grandes quantités de poissons.


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  •                                   PRESENTATION DE LA RELIQUE

     

             Au pied de l’arbre sacré il y a un petit sanctuaire dans lequel repose une relique sacrée ; c’est l’objet le plus précieux de la secte des chevaliers Ngue, elle est faite d’or massif et du diamant le plus pur. La légende raconte qu’elle est venue du monde invisible où vivent les Mbabock. Dans cette relique il apparaît tous les vingt cinq ans en début du mois de décembre un talisman d’une fabuleuse énergie provenant directement du monde invisible. Derrière l’arbre sacré il y a un lac paisible plein de poissons on leur apporte à manger tous les jours, ceux qui viennent méditer ou se recueillir se lavent dans ce lac et racontent que son eau a le pouvoir de guérir.

            Tout autour de l’arbre sacré se trouve d’énormes termitières, on raconte qu’à des saisons particulières le patriarches prélève un peu de la terre de cette termitière qu’il mélange à la rosée de certaines feuilles ;tous ceux qui s’embaument avec ce mélange pendant plusieurs jours voient leur peau s’embellir et rajeunir. Devant le sanctuaire, en face de l’arbre il y a un grand feu qu’on allume le soir autour de ce feu excepté du cote du sanctuaire il y a des bancs sur lesquels prennent place ceux venus se recueillir auprès de l’arbre .Seuls le patriarche et l’honorable Ngue peuvent pénétrer auprès du sanctuaire ; on raconte que la chaleur de ce feu a le pouvoir d’éveiller l’amour et le solidarité dans le cœur d’un homme. Tout autour des bancs on trouve une bonne quantité de belles roses entretenues par une jeune fille pure. Le vent provenant du lac mêlé à la fraîcheur que produit les feuilles de l’arbre le tout harmonisé à la douce odeur des roses apportent une aisance particulière à tous ceux qui se trouvent à cet endroit ; ce vent apaise les cœurs et donne à tous un bonheur ineffable de se trouver là.

                                               


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  •                    PRESENTATION DE LA SOCIETE MAGBE

       Depuis l’Egypte antique la contée Magbe située au cœur de la forêt équatoriale est restée fidèle à la tradition bien que légèrement ancrée dans le modernisme ; les vêtements, la scolarisation, l’importation de quelques produits, le transport. Leur mode de vie est resté profondément traditionnel : l’alimentation, l’éducation, les occupations journalières, la médecine. Leur alimentation est restée basée sur l’espérance en l’aide de l’Ancien des jours ;ils se nourrissent beaucoup plus de ce que la nature produit chaque saison :champignons, chenilles, fruits, poissons animaux et plantes. Les Magbe vivent en paix, ils constituent un peuple organisé ,le village est dirigé par le patriarche appelé Sage. Pour les fonctions administratives il ya une assemblée de notables(chefs de  cantons) qui forment un conseil présidé par la femme du Patriarche ,sa sœur ou sa mère s’il est célibataire. Elle est considérée comme représentant de la force matérielle du patriarche et appelée la  grande prêtresse ;assistée par douze conseillères, ses décisions sont suivies et respectées .Elle a la dernière décision sur les cultures à faire, l’organisation des récoltes ,l’éducation des enfants, la gestion économique de la contrée. Elle ne consulte le Sage sur ces problèmes qu’ en cas de situation grave.

       Le patriarche lui-même est le chef de la secte des chevaliers Ngue qui sont de puissants guerriers appelés Honorables. Les Ngue ont pour devoir de protéger la population, enseigner la chasse, la pêche et l’harmonie. Chaque Ngue est le responsable d’une école d’apprentis appelée Saï. Les apprentis Ngue sont appelés Simba.Le Saï a  trois degrés : les Simba,les Simba expérimentés et les apprentis Ngue.

       Il ya un comité d’anciens patriarches appelés Mbabock qui vit dans le monde invisible seul le patriarche peut le voir de temps en temps et converser avec eux.C’est ce comité qui ordonne un honorable Ngue au rang suprême de patriarche s’il juge que celui-ci a atteint une grande pureté de cœur.La secte des  chevaliers Ngue se prosternent devant l’arbre sacré qu’elle appelle le Guide car sa philosophie consiste à rechercher les vertus d’un arbre pour pouvoir devenir patriarche.

       Le patriarche a une belle construction auprès de l’arbre sacré il y vit paisiblement avec quelques Simba qui viennent l’aider à réaliser quelques petites tâches.

       La prêtresse a tout un grand coté luxueux de la concession du patriarche où elle vit avec des servantes et ses conseillères. Ce côté qui est séparé de celui du patriarche par une vaste cour. À une centaine de mètres de l’arbre se trouve une immense salle dans laquelle les différents notables se réunissent avec la grande prêtresse pour débattre des problèmes matériels de la contrée. Le patriarche y demeure pendant plusieurs années puis après un certain temps qui lui est indiqué par le comité des Mbabock il pénètre dans leur collège. Il devient inactif pour les choses du monde des hommes on ne le voit même plus. La prêtresse y reste quelques années pour gouverner le village elle forme une nouvelle grande prêtresse et devient sa conseillère.

       Les Saï sont des concessions des chevaliers Ngue qui comportent plusieurs cases le plus souvent entourées par une grande clôture dans lesquelles les Simba vivent ;certains parents y confient leurs enfants dès la tendre enfance toutefois si la famille n’est pas assez noble ,il n’est pas facile de se faire accepter dans un Saï. La plupart des enfants reçoivent l’éducation auprès de leur maman et dans les écoles de la contrée ,seul un petit nombre a le privilège de recevoir l’éducation d’un Saï. Les différents Saï communiquent à l’aide de tam-tams et de petits messages qu’ils gravent  sur des lames de planches. Toutes la journée des chevaliers Ngue est consacrée à la discipline et à la recherche d’un meilleur niveau de combat, ils se dévouent à la concentration, au tir à l’arc à l’entrainement au combat ,à la musique et à la méditation devant l’arbre sacré ;leur art martial s’appelle le Djock San qui signifie le suprême combat ;art ressemblant au Tai-chi, ils peuvent combattre à mains nues mais chaque honorable Ngue a une arme qui lui est spécifique. Ce peut être une lance ,un sabre, certains même en utilisent deux et d’autres une espèce de hache à double tranchant. Tous sont d’abord entrainés au combat avec des sabres quand ils sont encore des apprentis mais devenus honorable Ngue chacun se familiarise avec une arme de son choix ou même en fabrique une.

            

                   


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